dimanche 30 octobre 2011
lundi 24 octobre 2011
Sisyphe.org - Manif Reprendre la nuit - Un malaise dans l’âme
Sisyphe.org - Manif Reprendre la nuit - Un malaise dans l’âme
C’est presque le temps de la manifestation Reprendre la nuit (Reclaim the Night) et je tiens à plaider avec passion pour rendre visible ce qu’on occulte sans cesse.
J’ai participé à de nombreux défilés Reprendre la nuit et je les trouve toujours inspirants.javascript:void(0)
C’est presque le temps de la manifestation Reprendre la nuit (Reclaim the Night) et je tiens à plaider avec passion pour rendre visible ce qu’on occulte sans cesse.
J’ai participé à de nombreux défilés Reprendre la nuit et je les trouve toujours inspirants.javascript:void(0)
mercredi 5 octobre 2011
Sisyphe.org - Prostitution - Abolition de la victime et défense postmoderniste du statu quo
Sisyphe.org - Prostitution - Abolition de la victime et défense postmoderniste du statu quo
Je viens de terminer la lecture de Varat och varan, un livre de la socialiste, anarchiste et féministe suédoise Kajsa Ekis Ekman, où elle se consacre essentiellement à un déboulonnage des arguments utilisés pour justifier la prostitution et l’industrie de la maternité de substitution (l’exploitation des mères dites « porteuses »). Son livre a été écrit en réaction aux représentations médiatiques mensongères de la prostitution comme une sorte de choix de carrière intelligent et glamour pour les jeunes femmes, ainsi qu’en réponse au nombre croissant d’universitaires postmodernistes et de « théoricien-ne-s du queer » qui ont contesté la législation suédoise en matière de prostitution avec, entre autres, des arguments ridicules pour tenter de présenter la prostitution comme une forme de « transgression », qui « défie les normes de genre ».
Je viens de terminer la lecture de Varat och varan, un livre de la socialiste, anarchiste et féministe suédoise Kajsa Ekis Ekman, où elle se consacre essentiellement à un déboulonnage des arguments utilisés pour justifier la prostitution et l’industrie de la maternité de substitution (l’exploitation des mères dites « porteuses »). Son livre a été écrit en réaction aux représentations médiatiques mensongères de la prostitution comme une sorte de choix de carrière intelligent et glamour pour les jeunes femmes, ainsi qu’en réponse au nombre croissant d’universitaires postmodernistes et de « théoricien-ne-s du queer » qui ont contesté la législation suédoise en matière de prostitution avec, entre autres, des arguments ridicules pour tenter de présenter la prostitution comme une forme de « transgression », qui « défie les normes de genre ».
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